Genre

Le genre réunie plusieurs espèces proches par leur caractère botanique.

 

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Sous-catégories

  • Abies

    Les abies, appelés communément  sapins sont originaires des régions tempérées de l'hémisphère nord. Ils sont reconnaissables et se différencient des Picea par le mode de fixation  de leurs aiguilles ainsi qu'à leurs cônes dressés qui se désagrègent à maturité.

  • Araucaria

    L’araucaria est un conifère très épineux et piquant, produisant des fruits très appréciés des singes. C’est pour cela qu’on le nomme également « Désespoir des singes ». En effet, il est très difficile pour ces animaux d’accéder aux fruits de cette arbre sans mal ! Il en existe plusieurs espèces mais seule l’Araucaria araucana est couramment planté en France.

  • Calocedrus

    Calocedrus, appelé  ‘Cèdre blanc de Californie’ ou ‘Cèdre à l’encens’ est un conifère récemment introduit en Europe mais pourtant très intéressant. Son port est assez colonnaire et compact à taille adulte. Pouvant atteindre les 20 m.

    Notre conseil : lui trouver une place de choix dans les grands jardins où l’originalité prime sur les genres plus courants.

  • Cephalotaxus

    Appelé communément if à prunes ou pin à queue de vache, le Cephalotaxus, endémique à l’Asie de l’Est. Les espèce sont de petits conifères, des arbres à feuilles persistantes, qui peuvent atteindre une hauteur de 1 à 10 m (rarement 20). Il préfère les endroits ombragés en climats tempérés…

  • Cedrus

    Majestueux, les cèdres sont de grands arbres ils figurent parmi les conifères les plus impressionnants et les plus vénérables.
    Il en existe trois grandes espèces : Cèdre de l’Himalaya (Cedrus deodara), l’un des plus grand cèdre au monde
    Cèdre du Liban / Cèdre de l’Atlas (Cedrus libani atlantica) reconnaissable par sa couleur bleu/gris ou dorée ainsi que sa taille plus petite Cèdre de Chypre (Cedrus brevifolia), le cèdre le plus petit (maximum 8 m) caractérisé par sa petite aiguille. Il existe plusieurs cultivars nanifiés à port différent : pleureur, fastigié, horizontalis…

  • Chamaecyparis

    lawsoniana
    Il s’agit de l’espèce de conifères offrant la palette la plus large de formes et de couleurs. Appelé communément le cyprès de Lawson des fastigiés, des pleureurs, des globulaires, des couvre-sol, gracieux ou plus compacts, du vert au doré en passant par des gris et des jaunes. La taille de ces conifères varie entre 30 cm et 10 m.
    Les autres : Obtusa (origine japon), Pisifera ou cypres de sawara (japon), Thyoides (Usa) ou cypres blanc.
    Ces espèces nous délivrent de nombreuses variétés dont beaucoup de naines.

  • Cryptomeria

    Aussi appelés cèdres de Japon, les cryptomerias sont des conifères très appréciés dans ce pays car ils disposent
    d’un bois très parfumé et imputrescible. Très élégants, leur feuillage peuvent être très différent selon les cultivars. Les cryptomerias sont des conifères qui s’adaptent aux terrains humides et en bord d’eau.
    Notre conseil à éviter de planter en courant d’air

  • Cunninghamia

    Cunninghamia lanceolata est une espèce de conifère persistant de la famille des Taxodiaceae selon la classification classique, ou de celle des Cupressaceae selon la classification phylogénétique. C’est la seule espèce actuellement acceptée dans le genre Cunninghamia.
    Elle serait originaire d’Asie (Chine, Taïwan et du Nord du Vietnam), où il atteindrait jusqu’à 50-55 mètres de haut. Sa forme est cônique, avec des branches horizontales retombantes aux extrémités.

  • Cupressus

    Le cupressus fait partie des conifères vivant naturellement dans les régions chaudes (Amérique centrale, Asie du Sud et régions Méditerranéenne). Qui n’a jamais entendu parler du célèbre cyprès de Provence avec son port fastigié très linéaire et élégant ? Assez peu résistants à l’humidité, ces cyprès préfèrent les conditions plus arides et chaudes. Le sol devra aussi être drainé voire caillouteux pour répondre à leur exigences.

  • Diselma

    Diselma archeri est la seule espèce du genre Diselma de la famille des Cupressaceae... originaire Tasmanie (Australie), sur les montagnes de la côte ouest et au niveau du lac Saint Clair à une altitude comprise entre 900 et 1200 mètres.
    Arbuste de 1 à 6 mètres de haut. Les feuilles sont des écailles de 2 à 3 millimètres de long disposées en quatre rangs. Les cônes sont parmi les plus petits chez les conifères, mesurant 2 à 3 millimètres de diamètre et atteignent leur maturité 7 à 8 mois après leur fécondation. Ils sont formés de quatre écailles, chaque écaille portant une petite bractée. La paire supérieure d’écailles possède deux petites graines ailées.

  • Ginkgo Biloba

    «L’arbre aux quarante écus » car l’histoire raconte que 5 plants de ginkgo ont été acheté par le botaniste français M. de Pétigny en 1788 pour la somme de 40 écus chaque pied. Un nom qui lui va à ravir en période automnale où sa couleur jaune éclatante illumine le jardin.

    Le ginkgo est un arbre peu exigeant, il fut la première espèce d’arbre à repousser après l’explosion de la bombe atomique en 1945 à Hiroshima.  
    Arbre de taille imposante dans son habitat naturel, nous déclinons quelques variétés de petite taille… sur pied ou sur tige.

  • Juniperus

    Les genévriers ou juniperus ne sont pas des conifères de très grande taille (entre 30 cm
    et 7 m). Très rustiques, ils s’adaptent très bien aux sols pauvres et calcaires. Visibles en bord de mer car ils sont également résistants aux embruns. Ils sont assez piquants et disposent d’écailles ouvertes plus ou moins grosses.
    Bien souvent connus pour leur espèce rampante plus ou moins haute et colorée, il en existe également des formes érigées.

    D’autres, aussi couvre-sol, poussent de façon plus haute et portent leur branchage sur des troncs solides lorsque la plante atteint un certain âge, qui pourront prendre des formes ‘en nuages’ s’ils sont taillés comme il se doit.
    Les dernières espèces auront plutôt des aspects arbustifs et compacts comme le juniperus squamanta ‘blue star’.
    Nous déclinons une large gamme de juniperus différent dans leurs croissances couleurs et forme. Notre conseil les tailler régulièrement pour les densifier et gérer leur structure

  • Larix

    Le mélèze est l’un des rares conifères caducs. En effet, il perd ses aiguilles en hiver. Ils sont donc capables de prospérer en zone froide et montagneuse et dans quasiment tous les sols du moment qu’ils ne sont pas gorgés d’eau. De croissance rapide, ils disposent également d’un bois très qualitatif. Leur courtes aiguilles sont vert clair au printemps, puis vert bleuté selon la variété et finissent enfin jaunes à l’automne avant de tomber pour laisser les branches nues en hiver. L’écorce des mélèzes change elle aussi de couleur et devient brune, légèrement rougeâtre, avec l’âge. Les cônes apparaissent au printemps, les mâles sont petits et jaunes tandis que les femelles sont rouges.
    Notre conseil : A tailler dès février pour les variétés naines . Notre chouchou Larix Kampeferi ‘Diana’ pour son port tortueux .

  • Metasequoia

    Voici un second conifère caduc. Le metasequoia glyptostroboides, mesurant jusqu’à 30m de haut à taille adulte, il arbore une belle couleur bronze à l’automne lorsque les premières fraîcheurs arrivent. L’hiver, il comble son manque de feuillage par une écorce aux teintes rougeâtres très originale. De croissance rapide, ce conifère est capable de résister à des températures de l’ordre de -30°C. À l’inverse, il ne sera pas adapté aux conditions chaudes et sèches. Très gourmand en eau, il faudra lui prévoir un endroit bien dégagé dans un sol riche et humide car il pousse très rapidement les premières années s’il se plaît bien. Ses aiguilles sont relativement courtes et fines, lui donnant un atout de plus, surtout lorsqu’on le regarde de près. Le cultivar ‘Gold rush’ présentera un feuillage doré très fin et lumineux mais il est cependant moins haut que l’espèce type (environ 15 m). Notre conseil : pour distinguer un metasequoia d’un taxodium ce dernier a des feuilles opposées et ne presente pas de pneumatophores.

  • Microbiota

    De croissance rapide, le microbiota est un excellent couvre sol… Originaire de Sibérie, il change de couleur en hiver, il devient
     rouge brun.

  • Picea

    L’epicea ou picea, est encore relativement connu pour son utilisation en sapin de Noël. C’est l’espèce abies  qui sera mise sur un piédestal à cette époque, mais ce genre regroupe aussi le très célèbre ‘sapin bleu’ ou Picea pungens et bien d’autres... Ils proviennent de l’hémisphère Nord. C‘est pour cela qu’ils sont très résistants au froid et à l’humidité hivernale. Ils poussent quasiment dans tous les sols du moment qu’ils ne sont pas asphyxiants. Les picea sont des conifères très résineux dès lors qu’ils ont une blessure où que l’on coupe une branche. Leur croissance est relativement rapide mis à part pour les espèces naines et, ils peuvent atteindre une taille comprise entre 30 cm et 60 m.
    Beaucoup de variétés petites et étonnantes. 

  • Pinus

    Les pins sont les plus importants de tous les résineux. Une grande partie des espèces sont réparties dans presque toutes les régions de l’hémisphère Nord. Du Mexique en passant par l’Europe et jusqu’en Chine. De grand développement comme les très célèbres pins sylvestre (Pinus sylvestris), pins noirs (Pinus nigra) et pins parasol (Pinus pinea)…
    Il existe de nombreuses variétés de petite taille, avec des développements allant de 50 cm
    à 2 m d’envergure.


  • Platycladus

    Platycladus est un genre distinct de la famille des  Cupressaceae, contenant une seule espèce. Platycladus orientalis, aussi connu sous le nom de Thuya de Chine. Il est originaire du nord ouest de la Chine.

    Arbuste ou arbre monoïque, de taille petite à moyenne atteignant 20 m de haut, formant souvent des tiges multiples en culture ; écorce mince, brun rougeâtre, s’écaillant en minces bandes longitudinales ; branches ascendantes. Le genre Platycladus s’apparente étroitement au genre Thuja. Il s’en distingue par la disposition de ses rameaux feuillés dans un plan vertical qui sont dépourvues d’odeur lorsqu’on les écrase, par les écailles des cônes fortement crochues et ses graines non ailées.

  • Podocarpus

    Le podocarpus est un conifère très méconnu. Ses origines australiennes et son habitat naturel situé en altitude, le rendent assez inhabituel au sein de nos jardins. Très fines et petites, les aiguilles sont arrondies et très douces tout en étant disposées régulièrement autour de la tige. Les podocarpus présentent des couleurs pourprées, bleutées ou chocolat assez inattendues pour un conifère. Même s’ils atteignent normalement les 2 m de hauteur, leur taille adulte sera beaucoup plus restreinte en France.
    Exposition très ensoleillée en rocaille et surtout abritée des courants d’airs froids et humides.


  • Pseudostuga
  • Sequoia

    Séquoia est un terme ambigu qui désigne deux espèces de conifères appartenant à deux genres différents, appartenant tous deux à l’ancienne famille des Taxodiacées, englobée aujourd’hui dans les Cupressacées : 

    Sequoia sempervirens le Séquoia à feuilles d’if ou Séquoia toujours vert

    qui peut mesurer plus de 100 mètres de hauteur pour un diamètre approchant huit mètres. Hyperion, avec ses 115,55 mètres, est l’arbre le plus haut du monde.

    Sequoiadendron giganteum, le Séquoia géant

    qui se distingue par son volume. Les 1 486 m3 du General Sherman en font l’arbre le plus volumineux du monde. De plus, le Séquoia géant peut vivre plusieurs milliers d’années : une étude dendrochronologique attribue un âge de
    3 500 ans à un spécimen californien. Ces qualités font de cet arbre, vénéré par les Amérindiens de la région, le géant du règne végétal. 

    Le nom du genre Sequoia vient de l’orfèvre cherokee Sequoyah, inventeur d’un syllabaire utilisé par le botaniste autrichien Stephan Ladislaus Endlicher. Cette espèce est originaire des forêts côtières de la Californie et du Sud de l’Oregon.

  • Sequoiadendron

    Le conifère le plus spectaculaire au monde!
    Ses proportions titanesques vont de pair avec son âge car il peut vivre plus de 3000 ans avec une hauteur proche des 80 m. Cet arbre gigantesque est porté par un tronc monumental à écorce recouverte d’une multitude de feuillets qui la rendent ‘molle’. Son feuillage très long et fin, d’aspect caoutchouteux, est regroupé sur de longues branches légèrement retombantes du tronc jusqu’au bout des écailles. Il demande bien sûr une place très importante pour être planté dans un jardin. Plantez-le pour les générations futures en isolé et en arrière-plan pour un bel effet… Il n’est pas très exigeant si ce n’est qu’il n’apprécie guère les expositions trop ventées.

  • Sciadopitys

    Originaire du Japon, le sciadopitys verticillata ou pin parasol du japon est considéré par beaucoup comme un arbre fossile. Ils semblent avoir vécu en Europe il y a près de 230 millions d’années. Original, il dispose d’une croissance lente et atteint péniblement les 20 m pour les sujets les plus anciens. Ses longues épines vert foncé sont disposées tout autour et au bout de chaque nouvelle pousse, unique chez les conifères.
    Même s’il dispose d’un bois d’une très grande qualité pour la menuiserie, il n’est cultivé en France que pour son intérêt ornemental.
    Au jardin, il appréciera les sols frais, riches et bien drainés en exposition ensoleillée. Évitez absolument les sols calcaires.

  • Taxodium
  • Taxus

    L’if est l’un des conifères les plus connus et les plus appréciés dans les jardins contemporains. Sa structure est très facile à tailler, il est donc possible de lui donner des formes plus symétriques et farfelues. Ce caractère lui vient de sa faculté à reformer du feuillage même sur une branche ayant été complètement dénudée d’aiguilles, La plupart du temps, il prendra la forme d’une boule, d’un cône, d’une spirale ou de nuages pour les jardiniers les plus initiés en matière de taille. À l’état naturel, le taxus pousse en Europe et en Afrique du Nord jusqu’en Iran, il supporte donc les conditions chaudes et rudes.

  • Thujopsis
  • Thuya
  • Tsuga

    Conifère assez méconnu, le tsuga aussi appelé Pruche vient d’Amérique du Nord et d’Asie du moyen Orient. Très esthétique grâce à son branchage peut fourni et donc assez léger, ce sont les espèces naines et couvre-sol qui seront le plus souvent utilisées. Ces nouvelles pousses vert tendre prendront ensuite une teinte plus prononcées. Il ressemble un peu à l’if mais ses aiguilles sont cependant plus courtes et légèrement plus douces. Peu importe qu’il soit planté à l’ombre ou au plein soleil, du moment que le sol reste frais et riche.

  • Wollemia nobilis

    Le pin de Wollemi (Wollemia nobilis) est un arbre de la famille des Araucariacées qui a été identifié en 1994
    à 150 km au nord de Sydney en Australie. Cette population relictuelle ne comprend qu'une quarantaine
    de sujets. Cette espèce est l'unique représentant actuel d'un genre que l'on croyait disparu depuis des millions
    d'années au travers d'espèces fossiles. Le Wollemia nobilis est protégé par la loi de 1995, relative
    à la sauvegarde des espèces menacées. Dès le printemps 2006, le pin de Wollemi est lancé sur le marché
    international. Un pin de Wollemi dans chaque jardin et parc du monde entier réduira le risque pour la population
    naturelle, en évitant la visite illégale du lieu de sa découverte.

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